L’Aide Publique au Développement : Philanthropie ou trompe l’oeil du néocolonialisme ?

Pour répondre aux questions :
Où vont les 8,2 milliards de l’Aide Publique au Développement française ?
Pourra-t-elle atteindre les 0,7% du PIB promis par J.Chirac ?
Quelle est la vraie nature des flux financiers Nord Sud ?
Comment réformer le financement du développement, lutter contre la corruption et assainir la politique de la France en Afrique ?

Réunion publique-débat d’ATTAC 44, Mardi 8 novembre – 20H30 salle du Grand Blottereau
Boulevard Auguste-Peneau À 400m de l’arrêt tramway mairie de Doulon
Avec Nicolas Charbonneau de Survie.

Qui aide vraiment qui ?

L’Aide Publique au Développement ( ou APD) est née lors de la décolonisation, dans le contexte géopolitique de la guerre froide.

On entend par APD, l’ensemble des aides financières, prévues au budget de l’Etat, et transférées aux pays dits « en voie de développement ».

En 2000, l’Organisation des Nations Unies a précisé le sens et les objectifs de l’aide publique au développement avec les objectifs du Millénaire. Le but était de parvenir à réduire de moitié la pauvreté dans le monde entre 2000 et 2015.

En principe, les pays développés doivent consacrer 0.7% de leur revenu national brut à l’APD (Aide Publique au Développement).

Entre 1970 et 1998, alors que l’Aide Publique au Développement mondiale était à son maximum, le taux de pauvreté était lui passé de 11% à 66%. Cela peut sembler paradoxal, mais il faut analyser les mécanismes mis en jeu.
Quel est le montant de l’APD française, ? Comment est-elle composée ?
Nicolas Charbonneau, militant de Survie et ATTAC, nous aidera à trouver les réponses à ces questions.

L’aide publique au développement,
un outil à réinventer

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Voir en ligne : L ’Aide Publique au Développement française

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